cinéma, musique, livre (et BD)...

Orlando Bloom, ou comment prouver que le jeu d'acteur n'est plus un critère d'embauche J'suis du genre bon public, mais 'y a de slimites ^^

Snon, Tideland parle de quoi, en gros - encore qu'à te lire, ça m'a l'air assez décousu sur la forme - ?

Synopsis de Tideland

Lorsque sa mère meurt d'une overdose, la petite Jeliza-Rose part s'installer dans une vieille ferme avec son père, Noah, un rocker héroïnomane qui a connu des jours meilleurs. Afin d'échapper à la solitude de sa nouvelle maison, Jeliza-Rose s'évade dans un monde imaginaire.
Pour lui tenir compagnie, Jeliza-Rose n'a que les têtes de quatre poupées qui ont perdu leur corps... jusqu'à ce qu'elle rencontre Dickens, un jeune homme ayant l'esprit d'un garçon de dix ans. Vêtu d'une combinaison de plongée, il passe son temps caché dans une carcasse d'autocar, son "sous-marin", attendant de capturer le requin géant qui habite sur la voie ferrée. Dickens a une grande soeur, Dell, une sorte de fantôme vêtu de noir qui se dissimule constamment sous un voile d'apiculteur.
Pour Jeliza-Rose, le voyage ne fait que commencer...

Un film "à la Burton" ?

ya de ça oui, notamment, dans les décors, les costumes, et l'onirisme, mais avec un scénario beaucoup plus dur et plus trash...la drogue, la folie, la morbidité, la sexualité...Burton fait des films pour enfants, quasiment. Tideland, c'est beaucoup plus âpre et dérangeant. Plus puissant aussi, du coup.

Ce que jentendais, par "à la Burton", c'est-à-dire qui part plutôt vers l'onirisme, oui. Enfin, je voulais surtout dire le côté-là, pas le côté "contes pour enfants", justement.

Mais Tideland c'est pas le genre de film avec un scénario bien construit qui se suit mécaniquement comme un engrenage quoi, si je comprends bien ? Plutôt un fil rouge qui permet de lier les thèmes ?